NOS ENGAGEMENTS

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La surpêche
La surpêche est l’un des exemples les plus emblématiques. Les stocks de poissons s’épuisent et sont surexploités lorsque le nombre de prises est supérieur au nombre de poissons qui se reproduisent. Entre 30% et 55% des stocks sont menacées. Elle concourt au déséquilibre des chaînes alimentaires et appauvrit la biodiversité. Les méthodes de pêches industrielles participent de la destruction des habitats marins et à l’extinction de certaines espèces. Elles compromettent la sécurité alimentaire de millions de personnes qui dépendent de la pêche pour vivre.
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L’extraction des ressources
L’extraction intensive de sable, utilisée notamment dans la construction, entraîne la destruction des fonds marins perturbe la reproduction de nombreuses espèces. De même, l’exploitation des ressources énergétiques offshore accroît les risques de pollution par hydrocarbures et fragilise les écosystèmes sensibles.
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La ressource en eau
L’irrigation agricole, la production industrielle et l’usage domestique entraînent une utilisation abusive des réserves d’eau. Le niveau des nappes phréatiques comme les rivières sont impactés et cela perturbe la faune aquatique. Les barrages et les retenues artificielles modifient le cours naturel des rivières. Ils peuvent affecter les migrations de poissons et le transit des sédiments.

Changement température
Le changement de température de l’eau
L’un des impacts visibles est l’augmentation de la température de l’eau des océans. Sur la période 1993-2020, les océans se sont réchauffés d’environ 0,6 °C et la mer Méditerranée de l’ordre de 1 °C. Cette élévation perturbe la circulation océanique, modifie les courants marins et affecte la biodiversité. Les coraux, par exemple, sont particulièrement vulnérables : le réchauffement entraîne leur blanchissement, pouvant aller jusqu’à la mort des récifs coralliens, véritables nurseries pour de nombreuses espèces marines.
Fonte des glaciers
La fonte des glaciers
La fonte des glaciers polaires et continentaux, conséquence directe de la hausse des températures, provoque une élévation du niveau de la mer. Elle menace les zones côtières entrainant l’érosion du trait de côte et menaçant les habitations. Elle cause également l’intrusion d’eau salée dans les nappes phréatiques utiles affectant ainsi la qualité de l’eau potable. Enfin, elle provoque la destruction d’habitats critiques comme les mangroves ou les marais salants.
Acidification des océans
L’acidification des océans
L’océan absorbe une grande partie du dioxyde de carbone (CO₂) émis par les activités humaines, ce qui rend les eaux plus acides. Depuis l’ère préindustrielle, l’acidification des milieux marins a augmenté de 30%. Les conséquences sont l’affaiblissement des planctons, des mollusques et des coraux et in fine la perturbation de toute la chaîne alimentaire.
Eau douce
L’eau douce aussi concernée
Les écosystèmes d’eau douce ne sont pas épargnés. Les sécheresses, les canicules et la modification du régime des précipitations réduisent le débit des rivières, altèrent la qualité de l’eau et favorisent la prolifération d’espèces invasives et de bactéries toxiques. De nombreuses espèces de poissons d’eau douce sont déjà menacées de disparition.
Régulation du climat
Impact sur la régulation du climat
Les milieux aquatiques jouent un rôle crucial dans la régulation du climat. En les affaiblissant, le dérèglement climatique crée une boucle de rétraction négative. Il réduit en effet la capacité de l’océan à absorber le carbone et à atténuer les effets du changement global

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La pollution plastique
La pollution plastique est l’une des plus visibles et préoccupantes. Le plastique n’est pas biodégradable et ne disparait donc jamais complétement. Chaque minute, l’équivalent d’un camion poubelle de déchets plastique est déversé dans la mer. Ils se fragmentent en microplastiques et contaminent toute la chaîne alimentaire. Ingérés par les poissons ou les oiseaux ces plastiques provoquent l’obstruction des voies digestives, des troubles du développement ou de l’appareil de reproduction et parfois la mort. Ils affectent également la qualité de l’eau en agrégeant les toxines et se retrouvent dans nos assiettes.
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Pollutions chimiques
Les pollutions chimiques proviennent principalement de l’agriculture, de l’industrie et des usages domestiques. Les pesticides, métaux lourds, hydrocarbures et détergents altèrent la qualité de l’eau et s’accumulent dans les organismes vivants. Ces substances toxiques peuvent perturber les systèmes hormonaux, affecter la reproduction des espèces et conduire à des mortalités massives dans les zones contaminées.
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Pollution biologique
La pollution biologique résulte de l’introduction de pathogènes (virus, bactéries, parasites) dans des milieux où ils ne sont pas naturellement présents. Ces éléments peuvent rapidement déséquilibrer les écosystèmes en concurrençant ou en éliminant les espèces locales, bouleversant ainsi les relations écologiques établies.